La pauvreté, l’orphelinat, les familles d’accueil, c’est une enfance digne de Dickens que Marilyn Monroe a vécue. Mais cela ne provoqua jamais une envie de revanche sociale. Ainsi, à 20 ans, elle assurait à son ami Robert Slatzer que le clinquant n’était pas un objectif pour elle.
« De toute ma vie, je ne veux jamais rien posséder de prétentieux, surtout pas une grande maison, lui avait confié Norma Jean avant de se rappeler un principe de vie. Rappelle-toi que tu n’es ici que de passage. Et tu n’as pas intérêt à l’oublier, ma fille ! »
Un principe que l’icone a conservé. Son hacienda à Brentwood étant d’une taille raisonnable, et son mobilier d’une simplicité étonnante, loin de son image publique. On lui prêtait même une aversion pour les biens matériels.

Comme les précédentes, la dernière demeure de Marilyn Monroe était finalement simple par rapport au statut de la star.

Sa tombe, dans un petit cimetière de Los Angeles, est très simple, et toujours fleurie.